Gymnocalycium parasité

Bonsoir, j'ai acheté, au magasin vert du coin     ,plusieurs cactées que j'ai remporté correctement, sauf ce gymnocalycium car il fleurissait (probablement dopé en jardinerie ), je les garde en intérieur en attendant des températures plus clémente mais en rentrant ce soir j'ai remarqué une vie extraterrestre sur la dernière fleur.
N'ayant jamais eu d'autre problème que de la cochenille, je ne sais pas si il s'agit de pucerons ou d'autre chose, donc, je compte un peu sur vous pour identifier les bestioles et me conseiller pour traiter ça...
En attendant, je l'ai éloigné des autres plantes.
Ce matin :
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Ce soir :
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Merci d'avoir regardé en tout cas
J'ai eu une réponse sur un autre forum, je vous la copie histoire de partager l'info :
"Bonjour Carmilla,
on dirait des thrips.

Au stade larvaire
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Au stade adulte



Ces insectes sont de taille minuscule, inférieure à 2 mm, avec le corps allongé, pourvus de 4 ailes étroites et d'une pièce buccale piqueuse suceuse asymétrique. Ils se reproduisent dés que la chaleur commence à pointer son nez et lorsuqe l'hygrométrie est en chute libre.

L'aspect et les conséquences des attaques sont semblables à celles des attaques des “araignées rouges”. Les feuilles ou l’épiderme prennent un aspect grisâtre et piqueté et, de minuscules déjections noirâtres ponctuent les zones décolorées.

Apparemment, tu as un petit début d'invasion.

Tu as diverses méthodes pour lutter contre ces indésirables.

Les méthodes bio :

1 Une simple décoction d'ail à utiliser en pulvérisation.

la recette:
Hachez grossièrement 10 gousses d'ail et déposez-les dans une marmite.
Ajoutez-les à 5 litres d'eau.
Portez à ébullition la préparation et laissez mijoter pendant 20 minutes, avec un couvercle sur la marmite..
Laissez refroidir et reposer pendant une heure, en laissant couvert.
Filtrez ensuite la décoction (par exemple avec un tissu fin ou un tamis) afin de retirer tous les résidus.
Versez-la à l'aide d'un entonnoir dans un bidon en plastique de 5 litres.

2 introduire des prédateurs principalement le Neoseiulus (Amblyseius) cucumeris, ou bien des punaises anthocorides (Orius insidiosus). Méthode de régulation efficace mais difficile à mettre en place chez un particulier.

La lutte chimique :
du pyrèthre ou de la roténone.

Il faut traiter tôt le matin ou tard l’après-midi, car ce sont les moments où les thrips sont les plus actifs et risquent donc d'être le plus en contact avec le pesticide. Renouveler l’opération toutes les semaines jusqu'à l'éradication.

la prévention :
L’action préventive, dans une serre, est de suspendre des petits panneaux englués de couleur bleue, qui attirent les adultes volants. Il faut utiliser environ une plaquette par 100–200 m2 de serre. Cela ne permet pas d’éradiquer une population, mais permet de suivre son évolution, afin d’optimiser les traitements."

Ah oui en effet, sinon tu fais dans la simplicité s'il n'y a pas une grosse infestation, tu prends un cure dent et tu fais des brochettes !

Oh la la une vraie recette de cuisine.
Merci d'avoir pris le temps de nous partager tes informations c'est sympa...
Ce que je reproche à certains forums, c'est trop de sciences, l'air trop serieux, trop de blabla, trop prise de tête.

Une plante infectée, la méthode est simple : Le Nettoyage !

Changer entièrement le substrat et laver le pot ( les oeufs et larves peuvent s'y cacher.
Laver la plante et les racines.
Vaporiser un peu d'alcool dilué comme disait Daniel ( ou ce que tu veux) renouvellement une semaine après et observer.
Sechez quelques jours la plante au grand air , à l'ombre  loin des autres plantes,  les bebetes partirons.

La plante sera stressée mais vaut mieux cela, que de la laisser dans son substrat, d'avoir  qu'un semblant que guerrison et le retour des bêtes avec en plus de la résistance au premier produit....
bon c'est pour le cas d'une grosse infection .

Et hop une nouvelle maison...attendre quelques jours avant de commencer un léger arrosage.